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Enjeux actuels

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Beaucoup d’artistes se montrent réticents quand il s’agit de publier une de leurs œuvres musicales. Que craignent-t'ils ?

Ils craignent la copie ou le plagiat, qui consiste à s’attribuer la création de l'œuvre en la re publiant. Quand cela arrive, la rémunération de la musique et les mérites ne reviennent pas au véritable créateur. La seule solution pour empêcher cela est de prouver que la date de création est antérieure au repost du pirate. Il existe plusieurs méthodes pour créer la preuve.  Tout d’abord s'auto poster l'œuvre avant de la publier pour avoir une preuve matérielle de la date. 

Ou bien le dépôt de l'œuvre chez un homme de loi qui fournit un document certifié sur sa propriété.

Une autre façon est de faire un dépôt de l'œuvre au Service National des Auteurs et Compositeurs, ce dépôt coûte 35€ et dure 5 ans.

Enfin, Il y a aussi la possibilité de devenir membre de la SACEM qui protège vos œuvres. 

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En outre, le streaming est en train de transformer et de sauver l’industrie musicale. Une fois numérisée et mise en ligne, la musique s’est mondialisée et s'est  étendue au-delà de ses marchés historiquement habituels.

Suite à cela, l’arrivée du piratage a fait chuter le marché de la musique enregistrée, dès les années 2000. Avec le streaming musical, les acteurs de la musique enregistrée comptent transformer en véritable marché les nouvelles pratiques planétaires d’écoute de la musique en ligne afin d’assurer des revenus pérennes à un secteur qui sort de vingt années douloureuses, notamment ses offres par abonnement. De plus, le marché de la musique s’est mondialisé grâce au streaming, et donc aussi grâce aux plateformes d’écoute qui sont accessibles partout dans le monde.

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Enfin, le streaming a aussi un impact sur l’environnement. En effet, une étude réalisée par l’Université de Glasgow, a démontré que les émissions de gaz à effet de serre causées par l’industrie de la musique avaient un réel impact sur notre environnement.

Ces changements sont dus à la popularité du streaming musical, qui a généré plus de 7 milliards de dollars en 2018 aux Etats-Unis, ainsi qu’à la décroissance des formats physiques, tels que les CD ou les vinyles. 

Quand le streaming est devenu la première méthode d’écoute, la quantité de plastique a considérablement baissé et a atteint seulement 8 millions de kilos en 2016.

Beaucoup pensent que le fait de consommer la musique en streaming ne pollue pas, et pourtant, après avoir traduit la production de plastique en gaz à effet de serre, les chercheurs se sont rendus compte qu’en 1977, 140 millions de kg de gaz à effet de serre avaient été générés. Aujourd’hui, cette consommation est estimée entre 200 et 350 millions de kilos de gaz à effet de serre, uniquement aux États-Unis. D’un autre côté, le streaming, la musique ne génère pas de déchets sur notre smartphone, mais les data centers consomment de l’énergie. 

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